Crier à la censure et autre procédé incantatoire pour se victimiser.
Ainsi donc la curie est lancée, l'hallali sonnée, la méchante désignée...Tout cela pour être flinguée par un 830ème billet accusateur et mensonger sur le fond et la forme.
Un blogueur qui comptait, - mais aurais-je même commis une erreur de jugement à ce sujet - , au nombre de mes amis jusqu'à il y a peu,
vient donc de perdre les pédales, et de me faire porter le chapeau de ses égarements.
Il se prétend ainsi victime de censure en se déclarant contraint d'avoir été obligé de retirer son avant dernier billet.
Et comme ce billet à charge me concernait en tout et pour tout, je dois donc comprendre que d'une manière ou d'une autre, j'aurais usé à son égard de quelconque procédé propre à lui faire retirer ce billet de sa publication.
Lequel ? Je ne sais, mais comme tout cela est en mode sous-entendu, l'air de la calomnie est entonné et les choeurs sont armés pour faire prendre à l'affaire de l'ampleur.
Je me dois donc de réagir, non pas sur le blog de celui qui me fait un véritable procès en sorcellerie. J'attends d'ailleurs, la prochaine étape qui pourrait être pourquoi pas, une accusation d'autodafé en place, si ce n'est publique, du moins virtuelle via internet .
Le chat de gouttières, puisqu'il s'agit malheureusement de lui, n'a pas gouté mon dernier commentaire concernant Eva Joly. Ses deux réflexions sur son regard digne d'un congélateur et son sourire qui ferait fuir des clowns, m'ont interpellées. Je lui ai donc fait remarqué que ses propos étaient sexistes, l'attaque n'étant pas sur la politique qu'elle défend mais sur son physique.
A cela, j'ai rajouté qu'il ne manquait plus que des remarques entendues à son propos (Eva Joly) sur son accent par ailleurs, et sa nationalité et le portrait était complet.
Voilà pour le départ de l'affaire. Vous pouvez à loisir aller lire ce commentaire, s'il n'a pas été effacé. Vous comprendrez pourquoi je dis cela dans la suite de mon billet. Car je poursuis, une explication que je ne devrais même pas avoir à donner.
Mais je ne peux rester dans cet espace où, ne répondant pas à cette accusation, je me "sentirais" ainsi coupable et acquiescerais donc à cette insinuation calomnieuse, et y répondant, certain-e-s s'autoriseront à penser qu'il n'y a pas de fumée sans feu.
Piégée finalement, par un procédé particulièrement manipulateur, - car comment qualifier cela autrement? -, je me dois de faire un choix, et c'est pour le second que j'ai opté.
Pour continuer donc, nombre de blogueurs et autres sont maintenant des "twittos", autrement dit des utilisateurs de twitter.
Et si nous nous ne sommes pas toutes et tous aguerri-e-s face à ce mode de communication, du moins sommes-nous quelques-un-e-s sur Orléans à être présent-e-s sur ce fil d'info.
Je suis au nombre de ceux/celles-là.
Et comme d'autres effectivement, je commente et échange, via ce réseau social.
Ce fut donc encore le cas hier au soir. C'est ainsi que j'ai pu découvrir en avant-première que JPM venait de faire paraître un nouveau billet. Billet que je suis allée lire, étant autant que faire se peut, une lectrice assidue de son blog.
Vous dire que ce que j'y ai lu est une attaque en règle à mon encontre avec amalgames et autres, n'est qu'un doux euphémisme.
Mais je me suis fait un devoir, comme à chaque fois puisque c'est une ligne de consuite personnelle, de ne rien en dire à celui-ci.
Sauf à un seul niveau où je lui ai fait remarquer qu'il avait utilisé à mon encontre une confidence personnelle que je lui avais faite pour me dénigrer. Confidence qu'il a interprêtée à sa convenance bien entendu, et pour l'occasion en profiter pour me déconsidérer.
A cela, j'ai rajouté qu'à l'avenir, je ne me mettrai plus jamais en état vis à vis de lui, d'avoir à subir de telles attaques de sa part.
Et c'est tout !
Malheureusement, JPM a oté ce billet. Malheureusement aussi, ou heureusement de son point de vue, il a effacé sur tweeter la plupart des échanges qui attestent de cela, sauf un.
Un ouf de soulagement, car ce tweet prouve bien que pas une seule fois je ne lui ai demandé de retirer son billet, ni n'ai voulu en modifier le contenu : ce qu'il me proposait.
Je soumets à votre sagacité, cette copie d'écran.
Alors que maintenant ayant décidé de son propre chef de fermer son blog, de retirer cet article - qui pour le moins apporterait sur le personnage un éclairage bien différent - et qu'en plus, en plus il se fasse passer pour une victime, est pour ma part particulièrement odieux.
Sans compter que le procédé participe d'une manipulation pour le moins détestable.
D'autant que bien évidemment cela fait également le tour de facebook, où je ne suis plus pour raisons personnelles.
Un autre blogueur m'avait il y a quelques temps traité de "raclûre de PCF". Lui a assumé ses propos, n'a jamais retiré son billet et s'est excusé. Pourtant, il n'a jamais compté au nombre de mes amis.
Aujourd'hui, on m'intente donc un procès en atteinte à la liberté d'expression, en m'accusant de censure.
Pas joli, joli tout cela !
Heureusement pour moi, d'autres ont pu lire le billet en question, avant que JPM le retire de lui-même sans que quiconque le lui ait demandé, dont l'une de mes amies qui ne lui a pas caché son sentiment.
Voici une copie d'écran qu'elle m'a fait parvenir.
Et je vais en rester là.
Une opinion se forge ou non, si la/les personnes interpellées en ont envie.
Et comme le dit l'adage, on est jamais mieux trahi que par les siens, et comme l'âge ne fait rien à l'affaire, je viens d'en avoir une cruelle confirmation.
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